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Le commerce des bovins de boucherie est plus ferme

Tandis que les volumes de bovins de boucherie disponibles restent mesurés, la demande de la part des grandes et moyennes surfaces reprend des couleurs.

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L’activité du début de la semaine est plus régulière. Les distributeurs préparent des promotions de viande rouge, avant le Salon de l’agriculture. Sur le marché de Cholet, les tarifs sont stables pour les bonnes femelles blondes d’Aquitaine ou limousines de qualité bouchère. La demande tend à se renforcer face à la modestie de l’offre pour les charolaises R qui se négocient entre 5,25 et 5,45 €/kg de carcasse en fonction des acheteurs.

Du côté des réformes laitières, malgré un commerce toujours prudent pendant les vacances d’hiver, le repli de l’offre amplifié par la mobilisation des éleveurs la semaine passée, génère une concurrence plus marquée entre les acheteurs. Cela assure une meilleure tenue des prix. Les vaches prim’holsteins P+/O– s’échangent entre 4,00 et 4,10 €/kg. Les prix des sujets P=3 oscillent entre 3,80 à 3,95 €/kg en fonction du poids. Les vaches P–1 ou 2 se vendent entre 2,50 et 3,20 €/kg.

Les normandes et les montbéliardes O se négocient normalement entre 4,30 et 4,45 €/kg, pour monter à 4,50 € dans les R–.

Du côté des jeunes bovins, les tarifs se raffermissent également.

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